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Le planeur est un moyen de transport aérien volant selon les 4 forces physiques grâce à ses ailes, s'inspirant ainsi du vol des oiseaux.
Le planeur est une des premières créations de l'homme pour voler avec Sir George Cayley. Ainsi, le planeur est de nos jours un aérodyne, un moyen de transport capable d'évoluer au sein de l'atmosphère terrestre. Il ne présente pas de moteur, et ses ailes, comme celles des avions, sont étudiées pour lui permettre de voler en fonction des forces physiques.
Le planeur et l'avion comportent donc de nombreuses ressemblances, hormis la présence d'un moteur pour l'avion, compensée par des ailes deux fois plus longues pour le planeur. Le planeur a cependant besoin d'une aide extérieure pour décoller et s'élever dans le ciel. De plus, les 2 engins fonctionnent sur le même principe de base : la portance. Plus précisément, la finesse, la résultante aérodynamique de la traînée et de la portance. Sa vitesse atteignait les 60km/h dans les années 1950. De nos jours, il peut atteindre 90 à 100 km/h.
Il peut être monoplace ou biplaces mais est toujours constitué des 3 éléments suivants : – Une voilure permettant d'assurer la portance de la machine avec ses deux ailes d'envergure de 13 à 25 mètres. – Le fuselage dont sa fonction est de porter et d'abriter le pilote et sa liaison avec les empennages. – Les empennages, plans fixes et mobiles, chargés d'assurer la stabilité et le contrôle du planeur.
Le décollage est une des tâches les plus complexes dans la maîtrise d'un planeur. Il existe trois moyens différents pour y parvenir : – Le remorquage du planeur grâce à un avion à moteur.
– L'utilisation d'un treuil au sol. – L'emploi d'un mono planeur, comportant un petit moteur mais suffisante pour le décollage d'un planeur.
Ainsi, le planeur est un mode de déplacement proche des avions. Il est alors difficilement envisageable pour répondre à notre problématique, en vue de son décollage nécessitant une aide et de son atterrissage sur une longue piste.
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